Entre le Mont d’Or et la raclette notre cœur balance. Alors on a décidé de vous présenter ces 2 spécialités en vous racontant leur histoire et leurs particularités histoire de se décider une bonne fois pour toute ! Et en bonus on ajoute la fondue à notre compétition 😉

Equipe Mont D’or :

Ce qu’il faut savoir  :

Les seules races de vaches autorisées pour la production de lait à Mont d’Or sont des races locales : la Montbéliarde et la Simmental. Elles sont traites deux fois par jour à heures régulières. Les vaches sont obligatoirement nourries à base de foin en hiver et d’herbe pâturée en été. Les vaches disposent au minimum d’1 hectare d’herbe chacune. Le fourrage fermenté est interdit et la quantité de céréales complémentaires est quant à elle limitée. Le lait collecté quotidiennement est transformé dans un délai de 24 heures maximum.

Les secrets de la boîte en bois du Mont d’Or :

Depuis toujours, l’épicéa et le Mont d’Or sont indissociables ; le résineux confère au fromage son goût si savoureux et si caractéristique.

Tout les relie, de l’affinage sur des planches en épicéa à la sangle qui le cercle et à sa boîte, de la même essence.

Alors envie d’essayer le Mont-d’Or ?

En bonus, l’équipe Fondue :

On se demande souvent si la fondue est Suisse ou Française, voici une petite réponse qui pourrait mettre tout le monde d’accord….

Personne ne peut certifier la date de création ni l’origine de ce plat et il est fort probable qu’il ait été consommé, sous une forme ou une autre, dans l’ensemble des Alpes suisses, françaises et italiennes à une époque où les armaillis* vivaient à l’écart du monde, sans pouvoir transmettre par écrit leurs traditions culinaires.

Tout ce qu’on peut dire sur la fondue Savoyarde c’est que c’est un bon repas à partager en famille et entre amis aux sports d’hiver comme à la maison !

*Les armaillis sont les bergers typiques des Alpes.

Equipe Raclette :

Ce qu’il faut savoir :

L’histoire raconte que durant l’hiver, les bergers suisses avaient pour habitude d’allumer un feu pour se réchauffer. L’un d’entre eux aurait posé son fromage trop près du foyer… et la meule aurait commencé à fondre, obligeant le berger à la « racler » afin de prélever le fromage fondu. Il trouva cela délicieux et renouvela l’expérience chez lui, puis avec les amis. La raclette traditionnelle était née !

La demi-meule de fromage à raclette était placée sous une rampe équipée d’une résistance et chacun raclait à tour de rôle le fromage fondu. Dans les restaurants le « maître racleur », réalisait même cette opération pour le clients. Grâce à l’engouement pour les sports d’hiver dans les année 1970, la raclette s’est rapidement imposée comme symbole des séjours à la montagne.

Pour satisfaire tous les palais, le fromage a par la suite été retravaillé et affiné pour proposer du fromage à raclette adapté au goût de chacun.

Alors envie d’essayer une raclette ?